« Je savais que je pouvais y arriver, même avec pas grand-chose en poche… » Nadia Bard, franchisée VOG
Nadia Bard est une coiffeuse passionnée par son métier, après avoir accumulé les expériences en salon, c’est lorsque son mari se fait muter dans le Var qu’elle saute le pas et se décide à ouvrir son propre salon de coiffure… Nadia choisit d’entreprendre en franchise avec le Groupe VOG, elle nous raconte son parcours et comment Monte Ta Franchise l'a soutenue dans son projet.
Nadia, est-ce-que vous pouvez-vous présenter et me parler de votre parcours ?
Oui bien sûr. J’ai toujours été dans le milieu de la coiffure et après avoir obtenu mon CAP j’ai continué à évoluer dans ce domaine. J’ai travaillé pendant 10 ans au sein du salon de coiffure JC Biguine à Issy-les-Moulineaux, de coiffeuse confirmée à responsable de salon. J’étais le bras-droit du gérant et je m’occupais du salon en son absence. Ce fut une belle expérience, l’ambiance était conviviale et chaleureuse. Avec 27 ans d’expérience dans la coiffure, on peut dire que c’est un univers que je connais sur le bout des doigts.
Qu’est-ce-qui vous passionne dans votre métier ?
Je dois dire que c’est avant tout la communication. Je suis quelqu’un de très sociable et j’aime discuter avec mes clientes. C’est essentiel pour moi, cela me permet de mieux les comprendre et cerner leurs attentes. Car les cheveux chez la femme, c’est ce qu’il y a de plus important. Savoir respecter leurs désirs tout en les conseillant et en les guidant, c’est notre rôle en tant que coiffeuse. C’est à chaque fois un nouveau défi parce qu’on n’a pas le droit à l’erreur… Et bien évidemment, j’aime voir le changement que peut apporter une coupe de cheveux chez les personnes. J’ai eu l’occasion d’assister à de belles transformations, ou on a l’impression de voir sortir un papillon de sa chrysalide. C’est ce qui fait la richesse de notre métier.
Comment vous est venue l’envie d’ouvrir votre salon de coiffure ?
C’est en juin 2018, lorsque j’étais préparatrice de commande que l’envie d’avoir mon propre salon est née. Je n’arrêtais pas de me dire qu’il fallait que j’ouvre mon salon. Je ne pouvais plus continuer à travailler pour quelqu’un d’autre, faire des heures pas possibles et toucher un salaire de misère… J’ai eu un ras-le-bol ! Sachant qu’a cette période je devais jongler entre mon travail et mes enfants. J’avais besoin d’un changement radical et surtout je me sentais compétente pour gérer mon propre salon.
Vous avez parlé de votre projet autour de vous ? Qu’elle a été la réaction de vos proches ?
Quand j’ai commencé à parler de mon projet à mon entourage, les gens étaient sceptiques, tout le monde me disait que j’allais m’endetter. À part quelques personnes, dont mon mari, ma belle-soeur et mon ancien patron, qui m’ont soutenue et encouragée, toutes les réactions autour de moi étaient négatives. Mes proches ne comprenaient pas ma motivation et je devais sans arrêt me justifier et défendre mon projet. Au fur et à mesure, j’ai arrêté d’en parler…
Cela ne vous a pas démotivé ?
Non pas du tout, au contraire, cela m’a donné l’énergie et la force pour avancer. J’avais envie de leur montrer qu’ils avaient tort et que même avec 0 € en poche et en empruntant à deux-trois amis qui ont cru en moi, dont ma belle-sœur, j’y arriverai !
« Dans la vie si on ne tente rien, on n’avance pas ! »
Et vous avez tout de suite pensé à la franchise ?
Oui, car je voulais quelque chose de sécurisant au départ et adapté à mon profil. Même si à ce moment-là, je n’avais aucun apport de départ, j’étais déterminée, je savais que je pouvais y arriver.
Pourquoi avoir choisi le Groupe VOG pour vous lancer en franchise ?
Parce que l’enseigne a une bonne réputation dans le sud, les clientes aiment les salons de coiffure VOG. Je me suis donc intéressée au concept et je l’ai trouvé super ! C’est naturel, intemporel, pas guindé… Je voulais un salon de coiffure haut de gamme et prestigieux, le groupe VOG correspondait totalement à mes exigences.
C’est rempli d’une grande motivation que Nadia va prendre contact avec l’enseigne… Elle échange d’abord avec Sylvain Crot, Responsable développement Franchise Sud Est au sein du Groupe VOG, qui voit son potentiel, mais, étant donné son apport financier insuffisant, l’oriente vers Monte Ta Franchise, une source alternative de financement...
« Je n’avais pas d’apport pour me lancer, je suis partie de rien. Il a fallu que j’emprunte 5 000 € auprès de ma famille. Mais j’étais déterminée, alors je n’ai pas hésité. »
Quelle a été votre première impression sur Monte Ta Franchise, qu’avez-vous pensée de cette solution de financement ?
Je me suis dit : « On me tend une bouée de sauvetage, il faut que je l’attrape ! » Sylvain Moineau, Directeur d’investissement au sein de Monte Ta Franchise, a été clair avec moi. Il fallait que je trouve au moins 10% d’apport de départ pour accéder au prêt Monte Ta Franchise. J’ai demandé de l’aide à mes proches pour avoir l’apport minimum demandé.
Que vous a apporté Monte Ta Franchise ?
Du soutien ! L’équipe a été présente tout au long de mon projet : elle ne nous lâche pas ! Et plus particulièrement Sylvain Moineau. Il a réellement su m’encadrer et a pris en main mon projet, il m’a conseillé sur toute la partie financière et administrative ! Lorsque j’avais une question, je pouvais l’appeler. Il a contrôlé tous les éléments afin que mon dossier soit validé par la banque. Il a été extraordinaire ! Sans lui, je n’y serais pas arrivée. Aujourd’hui, une relation de confiance s’est construite, maintenant on se tutoie, il prend des nouvelles du projet… Et il sera présent à l’inauguration du salon prévue pour le printemps.
Parlez-nous de votre nouveau salon ? De votre projet ?
Le groupe VOG m’a proposé une reprise de salon de coiffure. L’ancien propriétaire a été muté à Thonon-les-Bains, il y avait donc une opportunité à saisir et cela me semblait plus rassurant de partir sur cette option-là. J’ai repris le salon, les anciens contrats, j’ai conservé l’équipe présente. Nous avons d’ailleurs été formés pendant 15 jours pour apprendre les techniques, connaitre les produits… Et travailler selon les méthodes de l’enseigne.
Le salon a été totalement transformé aux couleurs et au design de VOG (ameublement, matériaux…).
J’ai eu de la chance de tomber sur une équipe qui aime son travail, ce sont deux personnes carrées et sérieuses, ça aussi c’est très important et ça ne court pas les rues...
Avez-vous des conseils à apporter aux personnes qui liront votre témoignage et qui auront envie de se lancer également ?
Un seul mot « Persévérance » ! Et surtout il faut bien s’entourer, moi j’ai eu la chance d’être accompagnée par Monte Ta Franchise ; ce fut un énorme avantage.
D’ailleurs, je recommande Monte Ta Franchise aux entrepreneurs qui ont un projet : c’est vraiment super ce qu’ils font !
Une dernière chose à ajouter…
“Je remercie infiniment Sylvain Moineau sans lui, le projet n’aurait pas vu le jour. Et j’espère pour l’avenir ouvrir d’autres salons et pourquoi pas avec l’aide de Monte Ta Franchise.”