"Ça me semblait irréalisable et trop beau pour être vrai", Cindy Mendes, franchisée Pascal Coste
Passionnée par la coiffure depuis son enfance, Cindy a toujours voulu travailler dans ce secteur. Après des années d’expériences dans son propre salon puis au sein du groupe Provalliance, Cindy décide d’ouvrir son salon de coiffure en franchise avec Pascale Coste. Elle nous raconte aujourd’hui comment elle s’est lancée dans ce projet entrepreneurial soutenu par le financement de Monte Ta Franchise…
Cindy, pouvez-vous nous parler de vous et de votre parcours ?
J’ai commencé la coiffure à 13 ans et demi, en étant la plus jeune apprentie de France à l’époque. Puis j’ai passé un CAP et un brevet professionnel afin de faire de ma passion, mon métier. Pour obtenir une formation de gestionnaire d’entreprise et le titre de Maître Artisan, j’ai donc passé mon brevet de maîtrise grâce auquel j’ai pu tenir mon salon de coiffure de 2005 à 2012.
Pour des raisons familiales, je l’ai vendu en 2012 et ai décidé d’intégrer le groupe Provalliance, au sein de Jean-Louis David en tant que co-manager, puis Franck Provost en tant que manager. En parallèle, j’ai eu la chance de participer à des salons et défilés, et suite aux retours positifs des clientes, je me suis fait remarquer par l’équipe artistique de Monsieur Provost.
C’est lors d’un salon, qu’un franchisé Pascal Coste m’a parlé de cette enseigne me permettant d’ouvrir mon propre salon. J’ai donc sérieusement réfléchi à cette opportunité de redevenir gérante d’un salon. Aidée et convaincue par mon compagnon, j’ai alors pu être accompagnée par Kevin Bonini, le développeur de Pascal Coste pour monter ce projet.
Qu’est-ce qui vous plait et vous passionne dans votre métier ?
J’ai toujours voulu coiffer. J’ai commencé très jeune à travailler en salon de coiffure. Cette voie était évidente pour moi, je ne pouvais pas faire un autre métier. Ce qui m’attire c’est le contact humain, de pouvoir échanger avec les clients, les écouter et les conseiller… Le rapport avec la clientèle me plait, c’est agréable de voir un client satisfait !
Pourquoi avoir choisi la voie de la franchise ?
J’ai hésité à réouvrir un salon en indépendant, j’ai posé le pour et le contre sachant que j’ai travaillé 20 ans dans les mêmes quartiers, mes clientes m’ont toujours suivie. Mais, je dois reconnaître que travailler chez Frank Provost m’a apporté une certaine rigueur et un certain standing. Du coup, je ne me voyais plus avoir un petit salon de coiffure de quartier, j’aspirais à mieux, à un salon plus grand avec une meilleure qualité de service.
Pour moi c’est une évolution à tous les niveaux, même en termes de management, je m’occupe du planning de l’équipe et je gère mieux mon temps de travail. Ça n’a rien à voir !
Aujourd’hui je peux dire que je suis épanouie dans mes fonctions, et je me demande même comment est-ce que j’ai pu attendre aussi longtemps pour me lancer !
Quelle a été votre impression de la solution de financement « Monte Ta Franchise » ?
Lorsque Kevin Bonini m’en a parlé afin de m’aider à ouvrir ma franchise, j’ai trouvé ça génial ! Je ne savais même pas que ça existait. Grâce à mon compagnon, aujourd’hui mon associé, j’ai pu me constituer un apport de départ. Il m’a aidé à franchir la première étape, mais sans cette solution de financement je n’aurais jamais pu lancer mon projet. J’ai pris ça comme une super opportunité et un véritable tremplin.
Quelles ont été vos craintes et appréhensions pour vous lancer ?
C’est la partie chiffre qui m’a fait peur au départ car j’ai passé 7 ans chez Franck Provost où il fallait toujours être à fond... Même si j’ai confiance en mes mains, il y a toujours une forte pression. On se dit que ça ne va pas marcher et que l’on ne va pas être à la hauteur, etc… Je me suis beaucoup posée de questions car j’ai quand même une vie de famille, trois enfants, donc il fallait que j’arrive à gérer ma vie personnelle en parallèle. J’ai vite été rassurée puisqu’un mois après l’ouverture, nous sommes déjà à + 35% de notre prévisionnel, c’est une ouverture exceptionnelle, nous ne pouvions pas espérer mieux !
Quelles ont été vos sources d’inspiration et de motivation pour monter votre franchise ?
C’est mon compagnon qui m’a poussée depuis le début, il m’a soutenue, il m’a dit d’arrêter de travailler pour les autres et de le faire pour moi. Aujourd’hui j’ai des collaborateurs, je gère mon emploi du temps pour avoir du temps pour ma famille.
Au-delà du financement que vous a apporté IMPACT Partners ?
De l’assurance, Loïc et Timothée de chez IMPACT Partners ont cru en moi et en mon projet et cela m’a donné encore plus confiance en moi. Ils ont été présents de A à Z, ils m’ont toujours aidée quand j’avais besoin, ils m’ont monté un dossier parfait. Toutes les banques que j’ai faites ont été impressionnées par leur travail.
Avez-vous l’impression que votre entreprise a eu un impact social ?
J’ai eu beaucoup de retour de client qui m’ont dit : « c’est génial, on a la chance de pouvoir se faire coiffer dans un beau salon et de pouvoir y entrer ». Une bonne partie de ma clientèle n’a pas les moyens de rentrer dans un salon Franck Provost et, aujourd’hui elles sont ravies de pouvoir entrer dans un aussi beau salon avec une gamme de prix adapté à leur revenu.
Comment vous sentez-vous aujourd’hui dans votre nouvelle casquette d’entrepreneur ?
J’ai eu un mois d’août chargé, j’ai travaillé chaque jour et je ne suis même pas fatiguée grâce à l’excitation de l’ouverture, la satisfaction de ma clientèle et la localisation (à deux rues de chez moi) de mon salon.
Je pense vraiment que mon projet est valeur d’exemple parce qu’au tout début, je ne pensais pas en être capable : ça me semblait irréalisable et trop beau pour être vrai. C’est le jour où j’ai ouvert et quand on m’a donné les clés de ma franchise que j’ai pris conscience de ce magnifique projet réalisé.
C’est une transformation de vie, ça n’a rien à voir avec ce que je faisais avant. J’ai une super équipe, j’ai pu garder l’ambiance familiale et soudée que j’avais pu avoir. Et aujourd’hui je compte ouvrir un deuxième salon, à court ou moyen terme selon les opportunités qui se présentent à moi.
Quels conseils pourriez-vous donner à des personnes qui souhaitent monter leur franchise ?
Il faut être sûr de ce qu’on vaut dans son métier. Aujourd’hui, en France, on a la chance de pouvoir s’appuyer sur des investisseurs comme IMPACT Partners, donc il faut y aller, il faut foncer !
"Loïc et Timothée de Monte Ta Franchise ont cru en moi et en mon projet, cela m’a donné encore plus confiance en moi."
Si vous aussi vous souhaitez ouvrir votre salon de coiffure Pascal Coste avec un apport limité, contactez-nous.